On ne naît pas femme, on en revêt le masque ?
Joan Riviere (1883-1962) est une femme psychanalyste anglaise. Généralement connue pour son rôle de traductrice de Freud, ainsi que de proche et supportrice de Mélanie Klein, elle est l’autrice de plusieurs articles qui ouvrent la psychanalyse à une prise en compte de la domination sociale dans la souffrance psychique.
Qui est Joan Riviere ?
Née le 28 juin 1883 à Brighton, son père est avocat et sa mère gouvernante. C’est suite à un voyage d’un an en Allemagne, à 17 ans, qu’elle apprend l’allemand. Forte de cette expérience, elle traduira Introduction à la psychanalyse, Le moi et le ça mais aussi Malaise dans la civilisation et participera ainsi à faire connaître les idées freudiennes en Angleterre.
Suite au décès de son père, elle réalise une analyse avec Ernest Jones de 1916 à 1921. Celui-ci l'introduit, dès 1919, dans la Société Britannique de Psychanalyse. Elle participera au 6e congrès de l'Association Psychanalytique Internationale de La Haye, où elle fait la connaissance de Freud. Elle réalisera une seconde analyse à Vienne, avec Freud, en 1922.
En 1930, à Londres, elle devient analyste didacticienne et sera l’analyste entre autres de Donald Winnicott, John Bowlby ou Hanna Segal.
Joan Riviere se montre critique face au discours freudien au sujet des femmes. Elle écrira alors plusieurs articles entre autres sur la complexité du développement sexuel des femmes. Elle publiera aussi des textes concernant la petite enfance, avec et dans la continuité de l’approche kleinienne.
Parmi ceux-ci nous retrouvons :
Féminité Mascarade, 1929
La jalousie comme mécanisme de défense, 1932
(dans lequel elle fait entre autre l’analyse du fantasme masturbatoire d’une patiente)
Contributions à l’analyse de la réaction thérapeutique négative, 1935
La genèse du conflit dans la toute petite enfance, 1936
La femme endeuillée, 1945
Ainsi, Riviere est à l’origine de la considération de certains thèmes dans la psychanalyse. Elle offre notamment un nouveau regard sur les souffrances psychiques spécifiques aux femmes, en les inscrivant dans le champ social et en relevant les mécanismes de défenses que celles-ci peuvent être amenées à développer face à ce dernier.
Nous allons nous intéresser particulièrement à l’un de ses articles, Féminité mascarade, qui met en place un concept fort dans la prise en compte des rapports de dominations de genres dans le champ social.
La féminité mascarade
« Le lecteur peut se demander quelle distinction je fais entre la féminité vraie et la mascarade. En fait, je ne prétends pas qu’une telle différence existe. Que la féminité soit fondamentale ou superficielle, elle est toujours la même chose. »
(RIVIERE, J. (1991). Womanliness as a masquerade, In Inner World and Joan
Riviere : Collected Papers, 1920-1958. London, Karnac Books, 90-101, p.94)
Féminité mascarade est publié en 1929. C’est en 1994 qu’il est traduit en français, dans un recueil éponyme de treize textes réunis par Marie-Christine Hamon.
Dans son article, Riviere raconte comment la féminité peut être utilisée par les femmes en tant qu’un masque de protection contre l’angoisse provoquée par la crainte d’une punition de la part des hommes. Pour cela, elle prend l’exemple de femmes intellectuelles qui travaillent généralement dans des milieux principalement composés d’hommes. Elle rappelle que l’ambition intellectuelle a longtemps été considérée comme essentiellement masculine et qu’ainsi, une femme y prétendant était considérée comme souhaitant être un homme. A la date de l’article – 1929 – elle écrit que les choses ont changé, et que désormais, « dans la vie universitaire, dans les professions scientifiques, dans le monde de l’entreprise » se trouvent des femmes qui semblent cocher toutes les cases d’un « développement féminin complet » (Ibid,. p.91), dans ce que la société, en tout cas, considère comme étant féminin.
« Elles sont d’excellentes femmes et mères, de bonnes ménagères ; elles ont une vie sociale et culturelle remplie ; elles ne manquent pas d’intérêt pour les domaines féminins, par exemple dans leurs apparences, et quand elles sont sollicitées, elles sont toujours disponibles pour jouer leur rôle de substitue maternel dévoué auprès d’un large cercle d’amis et de connaissances. » (Ibid.). Ces femmes que Riviere décrit semblent cocher toutes les cases du résultat de la domination genrée de nos sociétés. Et elle ajoute « en même temps, elles accomplissent leurs taches professionnelles au moins aussi bien que leurs collègues masculins. C’est une véritable énigme que de savoir comment classifier ce type de fonctionnement psychologique. » (Ibid.).
Riviere va alors s’appuyer sur le cas d’une femme qu’elle reçoit dans le cadre d’une analyse, et qui semble correspondre à la description de ces femmes qui, tout en assumant leur rôle social dans l’intime, occupent une place professionnelle habituellement réservée aux hommes. Elle observe alors auprès de cette femme l’existence d’une angoisse autour de son activité professionnelle ainsi que la mise en place d’un comportement pour s'en défendre. En effet, après chaque conférence, discours devant une audience, performance en public, et ce « malgré son succès indiscutable, ses capacités pratiques et intellectuelles à gérer un public, à tenir une discussion, etc. » (Ibid., p.92), elle se trouvait prise d’une forte angoisse. Celle-ci se manifestait par l’inquiétude d’avoir fait ou dit quoique ce soit d’inapproprié. Elle cherchait alors à être rassurée sur ce point, ce qui l’amenait à chercher compulsivement toute occasion de recevoir à l’issu des débats, de la part des hommes, des commentaires qui la complimentaient sur sa performance. Pour se faire, elle mettait en place un comportement de séduction auprès d’eux. Riviere interprète que ces hommes seraient des représentants paternels, le père de cette femme étant un homme de lettres et un politicien. La patiente était elle-même consciente du caractère paternel recherché auprès de la réassurance de ces hommes. L’interprétation que fait Riviere du comportement de cette femme est la suivante : c’était pour se débarrasser de l’angoisse face à d’éventuelles représailles de la figure paternelle. L’idée étant que cette femme aurait symboliquement castré cette figure paternelle et lui aurait volé ses compétences intellectuelles. En les révélant en public, elle craignait alors des représailles.
[Il me semble important de noter qu'à ce niveau de lecture de son article, un des rêves interprétés est explicitement raciste ; or, Joan Riviere ne relève pas cet aspect, ne l'analyse pas en tant que tel, mais y évoque uniquement les rapports de dominations genrés. Nous ne reviendrons pas dessus, mais tenons à souligner que, bien que sur certains points, les écrits de Riviere sont novateurs et nourrissent une réflexion pertinente, ils peuvent être, sur d'autres aspects comme celui-ci, discriminants et condamnables.]
Le titre donné à l’article provient d’un rêve que rapporte cette femme, au sein duquel elle se situait en haut d’un gratte ciel. Poussée par-dessus bord, elle tombe sur les habitants d'un village au dessous de la tour. Les habitants échappent à l’accident en mettant un masque sur leurs visages.
« Ainsi, la féminité pourrait être assumée et portée en masque, à la fois pour cacher la possession d’une masculinité, et pour éviter des représailles attendues si on la surprenait la détenant. » (Ibid,. p.94). Riviere écrit alors que la féminité est utilisée « bien plus comme un outil pour éviter l’angoisse qu’un moyen de développer son plaisir sexuel » (Ibid,. p.94).
« Dans la vie quotidienne nous pouvons observer le masque de féminité prendre de curieuses formes. » (Ibid,. p.95). Elle développe cette idée d’une féminité portée comme un masque devant les hommes en donnant l’exemple d’une femme de sa connaissance qui, face à la présence d’un ouvrier, d’un tapissier, d'un cuisinier, leur cache ses connaissances techniques tout en les leur suggérant d'une manière ''naïve'', comme si ses suggestions avaient été le résultat d'une chance de débutante. Cette femme que décrit Riviere vit ces moments comme des jeux de rôles, dans lesquels « elle endosse l’apparence d’une femme non éduquée, idiote et désorientée » (Ibid,. p.95) tout en arrivant par ce biais à proposer ses idées.
Riviere fait des liens entre cette féminité mascarade et l’homosexualité. Que ce soit via les travaux d’Ernest Jones, ou en racontant le cas d’un de ses patients, ce qui se pourrait se lire entre les lignes de ces liens sont ces sorties du cadre de la domination – masculine et/ou hétérosexuelle – qui amènerait les sujets à revêtir un masque lorsqu’iels se trouvent au sein de lieux appartenant à celleux qui sont dominants dans le champ social. Ce masque aurait pour fonction de parer l’angoisse face à la crainte de représailles, que nous pourrions comprendre comme étant celles d’être sorti de ce qui est socialement institué comme étant la norme.
Elle nous montre dans ce texte que le « développement féminin » ou bien l’homosexualité doivent être abordé·es en psychanalyse dans une prise en compte de souffrances particulières, liées à la domination sociale ; et non comme tenant leurs origines et explications dans le simple cercle de l'enfance et de la famille.
Aussi, alors que Riviere ramène ses interprétations aux relations avec les figures parentales, nous pourrions-nous poser la question suivante : en quoi la famille – hétérosexuelle – en tant que première expérience de groupe pour l’enfant, pourrait-t-elle porteuse des rapports de dominations genrées ? Et comment ceux-ci pourraient-ils s'inscrire dans la psyché dès l'enfance ? Pourrions-nous élargir les interprétations en liens aux figures parentales à une interprétation prenant en compte le champ social dans lequel s’inscrivent les sujets, avec les rapports de dominations qu’il comprend et les souffrances et angoisses qui pourraient l’accompagner ?
Les interprétations de Riviere se rassemblent autour de la question de l’appropriation du ‘’phallus paternel’’ par la femme dont il est question. Mais nous pourrions-nous questionner quant à ce symbole du « phallus » en psychanalyse. Que représente-t-il ? Dans quel contexte est-il habituellement amené ? Comment pourrions-nous le penser dans une prise en compte du champ social ?
Dans l’article de Riviere, le ‘’phallus’’ est synonyme de savoir, de pouvoir. Il est généralement, en psychanalyse, le symbole de l’absence de manque pour celui qui le possède ou semble le posséder – les hommes. Ainsi, dans certains textes, il est fait référence des femmes comme manquantes – de ce ‘’phallus’’ – et comme désirantes de le posséder.
Mais nous pourrions-nous questionner à son sujet. La possession symbolique du ‘’phallus’’ est-elle une possession naturelle qui accompagne une bi-répartition sexuée ? Les hommes naîtraient-ils possédant de fait un ‘’phallus’’ symbolique et les femmes découvrant qu’elles en seraient manquantes ? Ou bien, pourrions-nous considérer la possession symbolique du ‘’phallus’’ comme celle d’une représentation d’un don social, un acquis de la domination genrée ? Alors que les individus sont genrés, bien souvent avant même leur naissance, plutôt qu’un don inné, ne serait-ce pas plutôt cet acquis social qui donnerait l’illusion d’une division sexuelle naturelle ? Ainsi ce symbole de l’absence de manque me semble intéressant en ce qu’il pourrait plutôt représenter ce qui est donné aux hommes comme place dans nos sociétés et qui est interdit aux femmes : l’espace publique, le temps, l’accès à des postes de pouvoir, la possibilité de se rêver capable de tout et sans aucune limite, etc.
Ainsi, le texte de Joan Riviere nous offre une manière nouvelle de considérer certaines souffrances psychiques, celle de les regarder aussi au travers de la loupe sociale, de domination et de stratégies de défenses élaborées contre les angoisses que celle-ci peut soulever.
« La conception d’une féminité comme un masque derrière lequel chaque homme suspecte quelques dangers cachés jette une petite lumière sur l’énigme. » (Ibid,. p.101)
La conception de la féminité comme une mascarade sera ensuite reprise par de nombreux auteurices, dont entre autres Jacques Lacan ou Judith Butler. Je choisis de me pencher sur la conception de Butler en ce que la mascarade a pu nourrir sa réflexion sur le genre pensé comme une performance.
De la mascarade à la performance de genre
Judith Butler réserve dans son essai Trouble dans le genre un chapitre intitulé Lacan, Riviere et les stratégies de mascarade faisant alors référence à la féminité mascarade pour aborder les questions de genre avant d’amener la notion de performance. Sa lecture du texte de Riviere en soulève les limites au travers du prisme du concept de genre.
La limite principale qu’elle soulève au concept de Riviere est celle de considérer que, s’il y a masque, alors c’est qu’il y aurait quelqu’un pour le porter. « Parler de mascarade sous-entend qu’il y a un ‘’être’’ ou une spécification ontologique de la féminité qui précède la mascarade, un désir ou un besoin féminin masqué mais susceptible d’être dévoilé » (BUTLER, J. (1990). Trouble dans le genre, Le féminisme et la subversion de l’identité. Paris, La Découverte Poche, 2006., p.131).
Si la féminité se porte comme un masque, alors il y aurait quelqu’un sous ce masque, dépourvu potentiellement de cette féminité, qu’il serait alors possible d’enlever. Ôter le masque de la féminité supposerait un être neutre, qu’il serait possible de délier de cette féminité. Aussi, à ce sujet, pour Butler, supposer une personne avant le masque de la féminité, reviendrait à supposer l’existence d’une identité universelle, isolée du champ social, à l’abri de ce dernier, neutre.
Pour elle, le champ social se mêlerait à l’identité au point de ne pouvoir la distinguer de ce qui a attrait, en elle, à l’identité de genre. L’identité de genre serait alors constitutive de l’identité même de l’individu, identité construite dans et par le champ social, la culture et les dominations qui la gouvernent, et ne serait pas réductible à un masque que l’on pourrait ôter.
« Dans les discussions sur la signification de la mascarade chez Lacan et chez Joan Riviere dans son essai ‘’Womanliness as Masquerade’’, la question de savoir ce qui était exactement masqué par la mascarade a donné lieu à des interprétations fort différentes. La mascarade est-elle la conséquence d’un désir féminin qui doit être nié et donc transformé en un manque, lequel doit néanmoins apparaître d’une manière ou d’une autre ? La mascarade est-elle la conséquence d’un déni de ce manque avec pour but le fait de paraître être le Phallus ? La mascarade construit-elle la féminité en tant que reflet du Phallus pour dissimuler les possibilités bisexuelles qui pourraient sinon ébranler le processus continu de construction d’une féminité hétérosexualisée ? La mascarade transforme-t-elle, comme le suggère Riviere, l’agression et la peur des représailles en séduction et en flirt ? Sert-elle prioritairement à cacher ou à refouler une féminité prédonnée, un désir féminin qui établirait une altérité non subordonnée au sujet masculin et qui révélerait que la masculinité est condamnée à l’échec ? Ou la mascarade est-elle le moyen par lequel la féminité elle-même est d’abord établie ? » (Ibid., p.132-133).
Ainsi, plutôt que de penser la mascarade comme détachable de l’identité et révélant un être universel revêtant un masque dans le champ social, il s’agirait pour Butler de penser la mascarade comme imposant la féminité à l’identité, nouant l’identité à l’identité de genre, à un point tel qu’il ne serait plus possible d’en démêler les fils. « Pour ma part, je soutiens que nous n’avons pas besoin d’un.e ‘’acteur ou actrice caché.e derrière l’acte’’, puisque celui/celle-là se construit de toute sortes de manières dans et par l’acte. » (Ibid., p.267-268).
Dans son chapitre De l’intériorité au genre performatif, Butler introduit la notion de performance. Pour elle, il n’y a pas d’expression du genre mais une performance, en ce que les attributs de genres ne seraient pas expressifs mais performatifs c'est-à-dire qu’il n’y aurait pas d’identité préexistante. « Les actes, les gestes et le désir produisent l’effet d’un noyau ou d’une substance intérieure, mais cette production se fait à la surface du corps en jouant sur les absences signifiantes, suggérant sans jamais révéler que le principe organisateur de l’identité en est la cause. De tels actes, gestes et accomplissements, au sens le plus général, sont performatifs, par quoi il faut comprendre que l’essence ou l’identité qu’ils sont censés refléter sont des fabrications, élaborées et soutenues par des signes corporels et d’autres moyens discursifs. » (Ibid., p.259).
A partir de cette notion de performance, Butler définit ce que représente l’identité de genre, au-delà d’un masque qu’on pourrait ôter : « Le genre consiste davantage en une identité tissée avec le temps par des fils tenus, posée dans un espace intérieur par une répétition stylisée d’actes. » (Ibid., p.265). « Au lieu de considérer l’identité de genre comme une identification originale servant de cause déterminante, on pourrait la redéfinir comme une histoire personnelle/culturelle de significations reçues, prises dans un ensemble de pratiques imitatives qui renvoient indirectement à d’autres imitations et qui, ensemble, construisent l’illusion d’un soi genré originel et intérieur ou encore qui parodient le mécanisme de cette construction. » (Ibid., p.262).
Pour aller plus loin, dans la continuité de ce qu’ont écrit Riviere et Butler, nous pourrions lier à ces réflexions le concept de passing au sein des communautés trans. Dans un post Instagram du 16 août 2020, @payetanonbinarité écrit « Non, nous ne sommes pas attiré.es par un genre mais bien par un certain passing (masculin, féminin ou androgyne). […] qu’on attribue inconsciemment à un certain genre. » Ce post élargit la conception du passing en dehors des communautés trans et questionne alors l’hétérosexualité normative et les attirances sexuelles, en ce qu’elles seraient le résultat d’un attrait pour la performance d'un genre – pour utiliser le vocabulaire de Butler, ou bien, si nous reprenons les termes de Riviere, pour la mascarade plutôt que pour le sujet qui en porte le masque.
Pour conclure, nous avons pu voir en quoi Joan Riviere a contribué à la théorie psychanalytique au-delà de son rôle de traductrice de Freud ou de proche de Mélanie Klein, en plus de textes sur la petite enfance, sur la réaction thérapeutique négative ou à propos de la littérature, via une conceptualisation de la souffrance psychique innovante pour l’époque, celle qui prend en compte le champ social et ses rapports de dominations dans la gestion de l’angoisse par la psyché. Son concept de féminité mascarade a ouvert une considération nouvelle de la féminité et a nourrit par la suite tout autant des écrits psychanalytiques que philosophiques, féministes et queers ; pour reprendre les mots de Butler dans une note de bas de page : « La littérature féministe sur la mascarade est des plus vaste » (BUTLER, J. (1990). Trouble dans le genre, Le féminisme et la subversion de l’identité. Paris, La Découverte Poche, 2006., p.132).
Ressources
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HUGUES, A. (2013). Joan Riviere, Melanie-Klein-Trust. https://melanie-klein-trust.org.uk/fr/writers/joan-riviere-2/
HUGUES, A. (s.d.). Joan Riviere, Institute of Psychoanalysis British Psychoanalytical Society. https://psychoanalysis.org.uk/our-authors-and-theorists/joan-riviere
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BUTLER, J. (1990). Trouble dans le genre, Le féminisme et la subversion de l’identité. Paris, La Découverte Poche, 2006.
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Paye ta Non Binarité [@payetanonbinarite]. (16 août 2020). Orientations Diamoriques [Texte en image]. Instagram. https://www.instagram.com/p/CD9HZz1gObj/
RIVIERE, J. (1991). Inner World and Joan Riviere : Collected Papers, 1920-1958. London, Karnac Books.
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